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Quand le chat ( Le lion) n'est pas là. Les souris ...
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Cael Hunter

Messages : 26
Date d'inscription : 26/08/2021
Cael Hunter
Cael Hunter

Sam 15 Oct - 1:02
Les souris dansent
When this world is no more The moon is all we'll see I'll ask you to fly away with me
Etrangement je me sens bien, même l’accident de parcours du restaurent. Ce moment comique nous aura finalement bien détendu Val et moi. Nous sommes presque sur le point de rire aux éclats de la situation. Finalement, je ne me retiens pas et explose de rire. J’ai remarqué que Val appréciait la tenue dans laquelle je suis. Je pourrais faire un effort et la garder le temps de la soirée après tout.
Dans la voiture, j’enfile son pull, puis j’ose lui demaner.

« Je peux le garder ? J’aimerai bien avoir quelque chose à toi chez moi »

J’aurai pu me servir sans lui demander mais autan éviter. Sur le retour Val appelle sa mère qui demande de nos nouvelles et discute un long moment avec nous au lieu de parler a son fils. Puis elle pose la question qu'il ne faut pas. J’ai bien envie de taquiner belle maman et Val. Je me retiens de rire. Mais mon sourire le trahi face a Valentin.

« Bonsoir Mme Reznikoff, disons qu’il est mauvais de reluquer votre fils quand un plat de sauce tomates est à proximité. Il a été très gentleman, il m’a même passé son pull pour éviter que j’attrape froid. J’ ai aussi appris qu’il aimait les costards. Il va falloir me donner plusieurs  éléments sur votre fils afin de lui faire plaisir »

j’ai du mal a contenir mon rire mais je m’en fiche.  Je ne dis pas ca pour dévaloriser Val bien au contraire. Je suis même surpris qu’elle parle avec moi alors qu’on commence tout juste notre relation. J’ai l’impression d’avoir toujours fait parti de sa famille. Même Grisha quand il vient parler a son Oncle s’adresse à moi. Parfois, j'ai l'impression de prendre trop de place.  Je ne suis qu'une pièce rapportée après tout.

« Mais mon petit Gars, Disons que c’est a cause du plat de tomate qui en est la cause.  Tu as déjà vu des gags à la télévision, et bien là c’était pareil. Tonton Caël s’est retrouvé avec tout un plat de sauce tomate sur lui »

Je raconte ça en dérision a Grisha. J'accentue tu bien le ridicule et on peut entendre le petit éclater de rire. Ainsi que la mère de Val en bruit de fond, mais plus discrètement. C’est incroyable comment le petit m’a adopté alors que je ne fais rien de particulier sauf aider Val et m’occuper du mioche. J’adore ce gamin. Ça me briserai le cœur que notre relation n’avance pas. J’aurai du mal a ne plus revoir cette famille et surtout Val.

J’explique des astuces a Grisha pour le puzzle compliqué qu’il na pas encore fini. Il semble heureux de vouloir essayer ma solution. J’explique au petit que j’ai invité son oncle a voir un film chez moi. Comme ca il n’est pas tenter de vouloir nous rejoindre. A la fin de la conversation téléphonique, je me tourne vers Val a moitié en riant. Je lui vole un baiser sur la joue et quand il raccroche je ne peux m’empêcher de lui dire.

« Alors mon chéri, tout vas bien ? »

Je me moque ouvertement de lui, je ne cache pas ni ne retiens mon rire moqueur.  Je me cache dans le pull trop grand  de Val.  Arrivé chez moi nous sortons. A la porte nous retirons nos chaussures et je fais la tête en voyant le mot de mon frère  sur une partie du mur où nous accrochions nos clé. Je soupire, me tourne vers Val un peu contrarié.

« Nous avons l’appartement pour nous seul ce soir. Elijah est en mission pour quelques mois. »

J’aurai bien aimer voir mon frère, ca fait un moment qu’on ne s’ est pas vu lui et moi. J’approche de Val et l’invite a entrer et de faire comme chez lui.  Je luis fait faire le tour du propriétaire, lui montrant toute les pièces. L'idée de me retrouver seul m'hérisse le poil. Mais Val étant là j'arrive vite à oublier.

Arrivé à ma chambre, j’ouvre la porte et le fait entrer. A l’intérieur c’est simple a ambiance zen et de bois chaud. Sur le bureau se trouve un petit cahier, mon journal intime que j’avais oublié de ranger. Il était ouvert sur la page « Comment séduire Val «  par Caêl. Pas très orignal mais suffisant. Le contenu de cette page était plus que simple une colonne avec une partie a faire et une partie interdite. Dans la partie interdite deux grosses lignes étaient encadrées en rouge

- Ne pas séduire Val quand on est blessé
- Ne pas appeler Val vieux fossile même si c’est un surnom que j'aime bien pour lui.

Mon téléphone sonne, je m’excuse auprès de  Val et répond a l’appel. Pendant l’appel je réalise que Val peut lire le contenu des pages. Je me sens gêné, et une certaine bouffée de chaleur m’envahit. Je m’excuse auprès de mon interlocuteur et retourne rapidement vers ma chambre. Val est penché sur mon bureau entrain de lire. Je dégluti, recule et tente de prendre la fuite. Je n’ai rien a dire comme excuse car tout ce qui est écrit je le pense vraiment. Il va juste me prendre pour un psychopathe.  

Je termine de faire les visites. Je lui montre la chambre de mon frère mais n’ouvre pas la porte. Je rappel à val qu’Eijah est un Alpha et qu’il doit retrouver l’odeur de son territoire. Quand tout est fini, je propose a Val de regarder un film et de nous installer tranquillement dans le sofa. Je le laisse choisir le film, demande ce qu’il veut boire et apporte tout ca. J’espère qu’il a oublié l’épisode du carnet. Pour lui faire oublié, j’ai retiré son pull que j’ai posé sur mon lit délicatement et replié pour rester en costard. La soirée est calme, je suis callé dans ses bras sans geste déplacés. Puis je réalise que je dois sentir mauvais. J’ai complètement oublier de prendre une douche en rentrant. J’essaie de me décaler mais en voyant le rictus de VAL, en mode Pas bouger, je sens que c’est peine perdue. Je ne sais pas pourquoi mais je pense que je vais morfler après le film. Heureusement le film nous intéresse tous les deux. Il peut m’entendre japper sous ses caresses. J’adore ca. Je réalise qu'il doit me trouver nul. Quel homme tien un journal intime pour séduire la personne qu'il désire. Mais je suis obligé. Si je veux retenir des choses, je dois le noter avant. Pendant la pub du film, je lève les yeux vers Valentin et lui dit.

Nous avons une chambre d'ami si tu veux rester.

Je préfèrerai qu'il dorme avec moi, dans mon lit. Mais je me retiens de le lui dire. J'ai appris a ne pas brusquer tonton Valentin si je veux avancer avec lui. Quand on chasse, il faut apprivoiser sa proie, et la mettre en confiance. C'est bien ce que j'ai retenu avec Val Quand j'étais blessé. Je savour le fait d'être contre lui tranquille sans avoir a penser a quelque chose. VAl ne doit pas avoir beaucoup de moment de détente comme celui-ci. J'espère qu'il profite de ce moment lui aussi


Valentin Reznikoff

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Profession : Barman
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Valentin Reznikoff
Valentin Reznikof

Jeu 26 Jan - 16:03
Confidence sur le canapé...
"La vie est une chienne... ou une boîte de chocolats..."


Je n'aurais peut-être pas dû accepter que Cael garde mon pull, c'est peut-être mesquin de ma part mais ce serait sûrement une bonne punition pour lui apprendre à demander des conseils à ma mère pour me séduire. Bon, d'accord, je ne le lui enlèverai pas mais je trouverai bien quelque chose, c'est pas l'imagination qui me manque quand il me faut penser à un moyen de donner une leçon au renard. Il a beau se croire malin mais il a encore du chemin à faire pour arriver à mon niveau de sadisme, enfin, si on peut appeler ça comme ça...

Agent Hunter, demanderiez-vous des conseils de séduction à une vieille dame pour mettre son fils dans votre lit ?!

Elle a beau utiliser un ton scandalisé, je peux très bien entendre son sourire... Mme Reznikoff s'amuse à mes dépends avec mon rancard ! Définitivement, ça mérite une sanction, pour tous les deux !

Le fils en question peut très bien vous entendre, je vous le rappelle et ça ne restera pas impunis, vous pouvez me croire...

Oh mon chéri, tu peux être tellement vieux jeu parfois. Laisse-nous donc comploter, tu nous remercieras plus tard quand tu seras heureux en ménage...

Un grognement digne d'un ours m'échappe en guise de réponse mais je n'interviens plus, autant les laisser s'enfoncer, ma vengeance n'en sera que plus douce et délectable. Grisha se joint à la conversation et impossible pour moi de ne pas sourire. Ce gamin, c'est le cadeau inattendu de ma vie, même si j'aurais préféré le recevoir sans avoir à perdre ma soeur et mon beau-frère pour que ça arrive. Il a adopté Cael à une vitesse ahurissante alors qu'il reste bien plus réservé avec d'autres personnes de ma connaissance quand nous les croisons. Je mets ça sur le compte de Cael qui est assez ouvert et qui n'hésite jamais à inclure le p'tit dans tous nos échanges quels qu'ils soient. Ca et le fait que le therian soit encore un grand gamin malgré son âge et les horreurs qu'il doit voir dans son travail. C'est une vraie bénédiction mais chut, ne le répétez pas, je ne voudrais pas qu'il prenne la grosse tête...

La conversation se tari et finalement, vient le moment des "au-revoir". Une fois la communication terminée et la promesse que j'appellerais le lendemain réitérée, je me concentre sur la route pour le reste du trajet, me contentant de lancer un regard faussement noir à Cael qui me cherche encore en reprenant quasiment les mots de ma mère une fois l'appel terminé. Ca le fait rire mais on verra bien s'il rira encore quand j'obtiendrai ma revanche.

Une fois chez Cael, et son frère apparemment absent pour une mission, il me fait la visite guidée des lieux. Certaines pièces sont plus spartiates que je ne l'aurais imaginé mais hey ! qui suis-je pour critiquer ?! Mon premier appartement était bien pire. Cela dit, toutes les pièces ne sont pas comme ça, certaines plus chaleureuse, comme la chambre de Cael par exemple. Pas vraiment mon genre le style zen mais ça lui va plutôt bien à la réflexion, c'est juste moi qui n'est pas fait pour ce type de décoration. Toutefois, j'admets qu'on s'y sent bien, ça pourrait sûrement plaire à Grisha par contre. Un appel éloigne le renard de la chambre et j'en profite pour fureter un peu, encore un autre défaut qui m'est rester de mon ancien boulot. Je tombe sur un truc intéressant sur son bureau... Monsieur tient un journal me concernant... J'ai déjà vu quelques journaux intimes au cours de ma carrière mais jamais de ce genre. Il n'y a pas grand chose dans la colonne reprenant ce qu'il faut faire pour me plaire. Je regarde un peu sur le bureau et y trouve un stylo que je ramasse et inscrit dans cette colonne bien vide "Reste toi-même, n'essaies pas d'anticiper ou de précipiter les choses, prends ton temps, soit honnête et franc et tout ira bien."

À peine le temps de poser le stylo et Cael revient, range rapidement son journal sans même remarquer que j'y ai ajouté un commentaire et se précipite pour me faire visiter le reste de l'appartement, comme s'il espérait que son journal s'en retrouverait expulsé de mon cerveau ou enfui sous toutes les autres informations qu'il me donne sur chaque pièce. Malheureusement pour lui, son journal est sans doute l'une des seules choses que j'ai retenu dans tout le reste. Ca et le fait de ne pas entrer dans la chambre de son frère, même si je ne vois pas vraiment ce que j'y ferais, ce type m'intéresse autant qu'un gravier sous la semelle de mes chaussures...

À présent, nous voilà dans le canapé à regarder un film, pelotonnés l'un contre l'autre, ma main caressant le blondinet distraitement. Le film est pas mal mais je passe bien plus de temps à réfléchir qu'à le suivre même si mes yeux ne quittant pas l'écran laisse croire le contraire. Dans l'ensemble, ma mère a raison, c'était une bonne journée et pour un peu, j'aimerais qu'elle ne se finisse pas mais si je veux voir de quoi demain sera fait, il faudrait bien qu'elle se termine à un moment ou un autre. Alors quand Cael me propose la chambre d'amis dans l'éventualité où je resterais pour passer la nuit, je saute sur l'occasion pour couper le son de la télé et me tourner vers lui...

La chambre d'amis, vraiment ? Je n'ai pas vraiment besoin qu'on se préoccupe de ma vertu, tu sais, à moins que ce soit la tienne qui tu veuilles préserver...

Je le taquine mais quelque part, je suis sérieux. Si je dois dormir quelque part, à moins de m'écrouler sur le canapé, je n'imagine pas dormir dans une autre chambre que la sienne. Pas forcément dans le but de s'envoyer en l'air mais bien pour le simple plaisir de sa présence. J'aime l'avoir près de moi, c'est indéniable et je crois que nos moments de pause durant la journée l'ont bien prouvé. Cela dit, je ne vais certainement pas le forcer à quoi que ce soit, j'ai mon propre rythme, c'est vrai mais ça ne veut pas dire, contrairement à ce que semble croire ma mère, que je sois vieux jeu au point de faire chambre à part jusqu'au mariage. Non pas que je songe à cela pour le moment... D'ailleurs en parlant de chambre...

Cela dit, tu as peut-être raison de me proposer la chambre d'amis, il y a probablement moins de risque que j'y trouve quoi que ce soit de compromettant, pas vrai ? Quelque chose comme un journal intime comprenant un mode d'emploi sur la meilleure façon de me plaire...

C'est mignon dans un sens mais j'avoue que je ne comprends pas pourquoi il se met autant la tête à l'envers. Il suffit qu'il reste lui-même, comme je l'ai écrit dans son journal. Sans doute une conséquence dû au rejet de ses parents. Pourtant, rien ne sert de courir, je ne compte pas déménager ou si c'est le cas, je ne changerais pas de ville, ni d'état et encore moins de pays. Je me suis engagé dans une relation avec lui donc aller voir ailleurs et m'installer avec quelqu'un d'autre est exclu, je n'en ai même pas envie...


© ASHLING POUR EPICODE



Traduction:

Cael Hunter

Messages : 26
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Cael Hunter
Cael Hunter

Jeu 26 Jan - 22:31
Sous les étoiles
Dors avec moi
Finalement, je l’aimais ce pull. Avec à peine 3h il  vécu une sacrée expérience. Prêté puis volé et il servira de doudou lors des soirées de solitude ou lors de longue mission. Ce petit pull est devenu un catalyseur important pour le petit renard. Pendant la conversation, je jetais un œil vers Val amusé.

M REZNIKOFF , comment osez-vous traiter votre mère de vieille dame. N’avez-vous pas honte ? En plus, vous me faite passer pour une personne obscène en lui disant vous mettre dans mon lit. Que pensera-t-elle de moi ?  Mais, je reconnais vouloir saisir toutes les occasion pour vous flatter très cher.

Mme REZNIKOFF par contre, je reconnais que l’effet vieux jeux de votre fils me plais énormément. C’est un des faits  qui ma attiré chez lui en quelque sorte.


Contre Val, je lui volai un chaste baiser avant qu’il ne puisse répondre. L’avantage du téléphone est qu’on ne voit pas ce qu’il se passe pendant la communication. Sa mère ne vit également pas quand je posa ma main sur la sienne en guise d’affection.

Pour une fois, ce ne fut pas moi qui lança le sujet de vieux fossiles. Je grimaçai à l’annonce d’une punition potentielle quand il nous menaça avec sa mère. Je détestai les menaces de Val. Je ne fus pas souvent gagnant. Et il rappelait trop mon chef d’équipe. Même quand celles-ci sont puériles. Et sa technique marcha puisque je me mis à bouder comme un enfant. Bras croisés et enfoncé dans mon siège en râlant. Heureusement que sa mère fut de mon côté. Je l’adore. De toute manière, je pourrais toujours lui demander plus tard.

Voyez Belle, maman, grâce à vous, je vais être puni comme quand Grisha fait des bêtises. Nous aurons l’ocasion de discuter en privé sans risquer les represailles de votre fils. Qu’en dites-vous ?

Tu sais Val, si nous complotons, c’est pour ton bien.


Je ris, j’avais deviné aisément que maman REZNIKOFF en avait assez de voir son fils célibataire ou avec les coups d’un soir. Je me demandai si elle fut  comme cela avec les ex de Val. Quoi qu’il en soit, je fus heureux qu’elle m’appréciât. Certains parents de mes ex m’avaient trouvé trop puéril, enfantin et immature. À croire que chez eux, ils en ont fait abstraction. Elle fut cependant ravi d’avoir un tête à tête avec moi plus tard.

Arrivé à la maison, je mis Val à l’aise. J’abandonnais Val le temps de mon appel et revient. Bien entendu que j’ai vu qu’il avait écrit quelque chose, je le lirai plus tard quand je serai seul. Étrangement, je ne suis même pas furieux qu’il ait osé « fouillé » je suis même ravi qu’il le fit. J’espère juste qu’il n'ai pas vu le petit nom affectueux de vieux fossile annoté en bas de la page.

Nous regardâmes un film et la soirée se passa bien, ce fut tendre et doux et relaxant. Nos mains s’entremêlèrent par moment et j’adorais ca. Je me risquai a poser ma tête sur son épaule et il ne fit rien pour me repousser, ce qui valu un sourire sur mes lèvres.  J'hésitais, puis finis par l'enlacer par la taille gardant ma tête sur son épaule. J’étais bien contre lui. Je pu me détendre sereinement sans avoir à être sur mes gardes et cela faisait du bien. Si j'avais été un chat, je ronronnerai a fond les ballons.
Après le film, je lui propose la chambre d’ami, il la refuse. Mon visage devient alors rouge pivoine. Je ne m’attendais pas à un tel refus de sa part. Je buguais a tel point que j’ouvrais et fermais ma bouche comme un poisson rouge dans son aquarium sans dire mots. D’un coup, il me donna chaud, ou alors il le faisait exprès pour me provoquer et voir ma réaction.Je décidais de jouer le jeu. Tan pis pour lui.

Au final, c’est toi qui veux me mettre dans ton lit contrairement à ce que tu as dis plu tôt a ta mère. Enfin, mon lit ici. Enfin, tu sais ce que je veux dire.

Il réussi encore à me perdre quand il reparla de mon journal, je devins a nouveau rouge pivoine. En réponse, je lui tira la langue tel un enfant. Puis je l'attrape doucement par lz col et l'approche de moi tout en l embrassant sur la joue.

Faites attention à vos mots très cher, je pourrais ceder a mes envies plus vite que prevu. Et pour la chambre, dors avec moi, je serai capable d’être somnambule et venir te rejoindre sous les draps si je te sais ailleurs. Pour le journal, je n’ai rien a cacher, en plus tu y a déjà laissé ta plume.

Signe que j’avais vu qu’il avait inscrit quelque chose et je lui fit comprendre que ce sera lu plus tard
Dans le fond, je suis heureux qu’il ait refusé de dormir ailleurs. Je vins me caler contre lui profitant simplement de ses bras.

J'ai vu ton message et je dois avouer que tu m'as bien eu avec ton petit ajout dans mon journal. Je ne m'attendais pas à ce que tu tombes dessus, mais je suis content que tu aies compris l'intention derrière. Je n’avais pas envie de refaire de faux pas comme quand j’ai débarqué de force chez toi blessé. Je veux te garder le plus longtemps possible. Je vous aimes toi et Grisha. Ce n’est pas pour rien que j’ai craqué sur toi depuis la première fois que je t’ai vu au bar quand tu installais ce foutu Karaoke. Alors oui, peut-être que j'en fais un peu trop, mais c'est parce que je tiens à toi plus que tout.

Sans le vouloir, je révéla que j’avais des vues sur lui depuis bien longtemps que la fois ou avec mon équipe, on a dû travailler dans son bar et que je suis parti en trombe vérifier la fameuse preuve qui m'a value la balle que je m’étais prise. Je crois qu’il était encore avec un certain Jeremiah a ce moment-là. Je levais la tête avec un sourire en coin.

C’est décidé, tu dormiras avec moi. ! Tu n’avais cas pas refusé la chambre d’ami. Attentions a tes mains cette nuit, une paire de menotte te feras rester tranquille ou me faire tenir tranquille. Si tu veux te doucher avant, j’ai une salle de bain privée. Par contre ferme la porte, je risque d’avoir la mauvaise idée de vouloir t’y rejoindre. Veux - tu un pyjama, short, une serviette. Comment veux-tu que je reste sage  en sachant ça! Il va me falloir un énorme self contrôle c'est mâlin!


J’attendais sa réponse et la claque qu’il allait me donner sur la tête pour avoir osé suggérer une douche ensemble.C’était stupide, mais j’aimais provoquer mon barman.Quant à moi j’avais l’habitude de dormir nu, mais ce soir je ferai un effort. Je n’avais pas envie de le faire fuir si on passe la nuit ensemble. Je le laissais se mettre à l’aise et alla chercher ce dont il avait besoin comme oreiller, traversin, etc. Je réalisai que c’est une bonne chose qu’Elijah ne soit pas là, sinon il aurait déjà voulu tuer Val pour de vrai. Je laisse son intimité a Val le temps qu’il se change et revient vers la chambre les bras chargés. Je toque à la porte et attends une réponse de sa part.

Il doit me trouver bien ridicule. Autant chez lui, je lui faisais du rentre-dedans, autant chez moi, je suis un peu trop prévenant. Pas de réponses, il ne doit pas être couché. J’entrouvre la porte pour y passer ma tête, une main sur mes yeux par respect pour sa pudeur. Je me suis changé entre temps. Je portais un pyjama en lin blanc avec un boxer noir.

Je peux rentrer, tu as fini. Au fait pour demain, j’ai acheté le café comme tu aimes.

Je regardais autour de moi l’air penaud. La chambre était vide. Il ne devait pas être loin. J’avais quand même une crainte. Celle que mon amant partant de chez moi comme l’autre connard avant val. Je me secoua la tête Val n’était pas comme ca. Il avait même fait des allusion douteuses. De plus nous avions déjà dormi ensemble. Je me frappais le front. En attendant qu'il revienne, je me décidais à prendre une douche relaxante chassant mes vilaines pensées. J'avais laissé la porte ouverte pour lui faire entendre ma presence quand il reviendrait. J'avais laissé un mot avec comme instruction pour qu'il se sente à l'aise.
" Ne demande pas fais comme chez toi, et sers-toi si tu veux quelque chose"
je lui avait indiqué où se trouvait les chose d'utilité principale


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