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Trouble never looked so good damn fine. [Avis Green - Humain]
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Avis Green

Messages : 131
Date d'inscription : 23/01/2022

Profil Personnage
Profession :
Race : Humain
Avis Green
Avis Green

Dim 23 Jan - 14:30

Avis Green

15.12.1996 • 25 ans • Anglais • Célibataire • Humain • Dans le placard • Membre de la mafia anglaise • Civil
Profil Psychologique

• Avis aime la pluie et la manière dont elle chante quand elle tombe. Il aime son odeur sur le sol. Et avoir les rues pour  - presque - lui tout seul quand les passants se mettent à l’abri.

• Avis aime la nuit, son silence et ses ombres et encore plus la plage par une nuit noire avec le son des vagues, la douceur du sable sous les pieds et rien pour troubler le cours de ses pensées.

• Quand il mange de la glace, il aime se plaindre que c’est trop froid. Ça fait râler Ashley, il trouve ça amusant. Sa préférée est celle avec des morceaux de pâte à cookies.

• Avis aime les blagues. Les farces. Le jeu. Plaisanter et se marrer, à s’en péter la gorge et les côtes. Sauter à pieds joints dans les flaques d’eau et s’en foutre d’être mouillé. Courir trop vite en hiver et s’en faire brûler la gorge. Marcher pieds nus si souvent que des fois ça le fait chier de mettre des chaussures. Jouer avec l’écho comme un gosse de dix ans. Qu’on se plie à ses exigences. Mais aussi qu’on lui résiste. La neige qui crisse sous les pieds. Écouter les gens râler pour un oui et un non et s’en moquer ouvertement. Fumer une clope avec un verre de rhum. Les pâtes au beurre qui réconfortent. Se faire kiffer sur de la musique, qu’importe si elle est bonne tant qu’elle bouge.

• Avis n’aime pas qu’on lui dise non. Quand Ashley se met en danger. Quand Ashley va mal. Quand Ashley lui en veut. Que Tobias débarque chez lui à l’improviste. Les fruits de mer. La bouffe saine. Quand les gosses chialent. Quand son appartement est sale. Les personnes qui ronflent. Son réveil.

“Trouble never looked so good damn fine.”

Avis n’est pas raisonnable. Il flirte sans arrêt avec le danger, avec la violence, il se blesse et blesse sans remords. Il tranche avec ses mots et brûle avec ses sarcasmes, cogne fort avec ses poings. Où il passe, il aime semer la guerre et le chaos comme une seconde peau, un sourire très souvent narquois collé sur sa gueule d’ange. Il aime cette adrénaline, celle qui traverse son corps avant un combat. Il aime cette sensation de puissance quand les yeux d’un autre homme lui renvoient de la peur. Et encore davantage les cris de la foule en émoi.

“Crooked grins, sly hands, and one dangerous voice.”

Avis aime la violence, elle est facile et il y a sa place, elle est franche, sans détours, mais elle est familière, surtout, après toutes ces années. Il aime la sensation de la chair qui ploie sous ses coups, les souffles qui s’ébranlent et le sang qui coule lentement sur la peau moite. Il aime les grondements lourds qui roulent entre les lèvres quand la fatigue tombe, que le corps s’épuise, et que la lutte s’approche peu à peu du désespoir. Il aime gagner. Assurément. Voir les genoux ployer et la volonté s’effondrer, et l’étincelle disparaître au fond des yeux de l’adversaire. Avis est une teigne. Il donne tout ce qu’il a et ne lâche rien.

“They made you into a weapon and told you to find peace.”

D’un sourire il séduit. D’un mouvement il captive. Avis connaît ces jeux de séduction et sait comment on charme, il en joue, il aime ça, voir les joues rougir et les regards s’emplir. De désir. Savoir que le corps d’un autre homme s’embrase et se consume tout aussi facilement que les clopes qu’il fume peut-être un peu trop souvent. Il attise, aguiche, puis se lasse sans prévenir. D’une parole il détruit. D’une remarque il dévaste. D’une moquerie il ravage. En se fichant totalement des états d’âme tant que ce ne sont pas ses propres sentiments que l’on blesse.

“If you hurt my brother, I’ll kill you. I swear I’ll kill you all.”

Avis a cette faiblesse dont il ne se cache pas. Ashley est son frère. Son tout. Et même s’il est plus que capable de se défendre - parce qu’Ashley est bien plus dangereux que lui - personne n’a le droit de toucher à un cheveux de sa tête. Ashley est plus bruyant qu’Avis. Ashley aime crier et brailler et il a le rire tonitruant quand Avis ricane depuis le fond de sa poitrine. Il n’a besoin que de quelques heures de sommeil pour être en forme alors qu’Avis aime dormir longtemps (et rien ne peut le réveiller). Mais ils sont semblables aussi. Deux idiots, quand ils le veulent. Deux garçons normaux.
Signalement
“He calls me beautiful like it’s my name.”

Des yeux gris sur une peau pâle. Deux anthracites qui étincellent au gré de ses sourires, au fil de sa colère. Incrustées sur un visage aux traits fins, une gueule d’ange illuminée d’un rictus espiègle.

Avis Green est beau. Ce serait mensonger de prétendre le contraire. Des boucles brunes et indisciplinées qui tombent en cascade autour de ses joues et qu’il attache souvent en catogan. Dévoilant une nuque tendre et la naissance de ses épaules. Il est solide, bien construit. Il manque sans aucun doute de puissance dans les coups qu’il donne, doté d’une musculature légère qui lui permet cependant de bouger plus rapidement.

“Eyes. Those damn eyes fucked me over.”

Et quand il combat, son corps semble s’animer. D’encre noire qui court en motifs étranges et en runes anciennes, au milieu desquels s’en cache un plus particulier, un tatouage qu’il n’a pas choisi, imposé par son père pour son Empire. Ils naissent au creux de ses reins, s’enroulent le long de ses côtes comme la caresse d’un amant de passage, traversent son torse pour se perdre le long de ses bras. Sûrement en a t-il oublié les significations pour la plupart car elles n'importent pas tant. Tant qu’elles noient le symbole de ces fers invisibles qui l’entravent parfois. Tant que son corps est une toile qu’il peint lui-même et non par contrainte.

“But he had eyes like rain and hair like waves
and a soul as vast and deep as the ocean.”

Au cœur même des tatouages, si on regarde vraiment, on les remarque les cicatrices qui jonchent sa peau. Il s’en sort rarement indemne de ses combats, pas à chaque fois en tout cas, et elles content mieux les récits de sa vie qu’il ne le fait. Disparates et dispersées sur ses membres, elles font le bonheur de quelques amants trop curieux d’en apprendre plus sur un Avis peu bavard avec eux : tant qu’ils se débarrassent de leurs fringues, il s'embarrasse peu de mots. Il a de longues jambes Avis. Finement musclées, qu’on pourrait rêver d’avoir enroulées autour des hanches.

“Every cigarette you put to your mouth
should have been my lips.”

Une veste en cuir sur un tee-shirt des plus communs. Un sweat épais et une capuche jetée à la va-vite sur ses cheveux bruns. Un jean. Des godasses à lacets, solides. Ou des converses, parfois, avec quelques écritures au stylo dessus, parce que ça le fait marrer. Avis a un style confortable. Avec peu d’extravagances à part la couleur de ses hauts parfois, ou les motifs de ses chaussettes. Qui met en valeur son mètre 83 et sa finesse.
Parcours

/!\ Violence (combat).

“Viens, on s’casse.” Il murmure, cette nuit là. “Là, maintenant, on fait nos valises et on s’tire. On part tous les deux, loin d’ici. On s’barre voir le monde, en Corée, au Japon, ou en Espagne si tu veux, mais on bouge, on reste plus là comme on le fait depuis toujours, on découvre.”

Et Ashley rit. Il rit doucement, comme le bruissement du vent dans les feuilles des arbres ou une caresse sur l’océan, sans tonitruance. Un peu comme un blessé, un désillusionné qui ne croit plus en rien, plus en la joie ni l’amour et plus en la vie qui brûle au fond de leurs corps assoupis. Et c’est l’inverse, pour une fois, c’est lui, Avis, qui a l’espoir étincelant dans les yeux et la poitrine soulevée par les rêves. C’est lui dont le souffle se perd sur l’impatience et la fougue ardente d’une jeunesse dont ils n’ont pas tant profité. C’est lui qui s’imagine. Qui s’illumine. Au gré de ce désir qui déjà s’étiole alors que la réponse de son petit frère se fait attendre. Ashley, qui tient ce songe entre ses doigts, le pèse et le soupèse comme pour l’entrevoir. Allez Ash, il voudrait hurler, on plaque tout et on disparaît, on recommence tout ailleurs, en mieux, tous les deux, mais il le regarde et il se tait.

“T’es complètement fou.” Ashley finit par ricaner. “On ferait quoi tous les deux au bout du monde ? Tu sais rien faire à part te battre, et je sais rien faire d’autre que dégotter des corps et des visages qui rapporteront un maximum.” Il y a un sourire sur sa bouche qui n’a rien de joyeux, un sourire qui blesse doucement l’âme de l’aîné. “Tu ferais mieux d’aller dormir au lieu de trop penser. Tu vas finir par te faire du mal.”

Il le sent se tordre, son cœur, se tordre de frustration alors que ses entrailles se rebellent et rugissent pour tirer d’entre ses lèvres une protestation qu’il retient. Muselle. Ce sera vite oublié. Détruite, cette pensée, avec la clope qu’il éteint et jette dans le cendrier, parcourant les quelques centimètres qui les séparent pour l’attraper au creux de ses bras. Dans une étreinte d’ours, de frère au cœur en berne d’une magnifique illusion.

“Tu es devenu si raisonnable, mon Ash.”
“Faut bien que l’un d’entre nous le soit.”

Avis le sent sourire contre son épaule et Ashley le serre en retour avec la même force, alors un instant ils ont l’air de deux naufragés qui n’ont plus rien au monde que l’autre sur le sable de leur île, et c’est un peu ce qu’ils sont depuis toujours d’un côté. Deux âmes entremêlées. Enchaînées l’une à l’autre. Avis les entend encore, les sanglots de son tout petit frère, le jour où Tobias l’a déposé devant la grande grille du pensionnat de Londres. Il les voit, ses larmes, et les sent sur ses lèvres qui les ont essuyées doucement du bout d’un baiser, tempête d’eau salée. Il se souvient de son prénom, crié avec la force d’un ouragan désespéré, et du regard noir de jais qu’il avait lancé à son père, ce géant, de sa taille de petit bonhomme. Jusqu’à ce qu’Ashley le rejoigne, l’année suivante, alors il n’y avait plus eu qu’eux deux au monde.

“Tu penses à quoi, encore ?” Ashley murmure au creux de son épaule.
“À tes larmes de crocodile quand Tobias m’a collé au pensionnat.”

Ils ricanent de concert en taisant combien ils ont été blessé cette année là avec le départ sans même un au revoir de cette mère qui les a mis au monde, puis six mois plus tard l’envoi d’Avis à Londres comme une seconde trahison. Deux gamins de dix ans et leurs deux cœurs en miettes.

“Comme si t’avais pas chialé, toi aussi.”
“Bien sûr que non. J’allais pas me plaindre d’être enfin débarrassé de toi.”
“Mens autant que tu veux, je me souviens parfaitement de tes yeux gonflés même si tu faisais tout pour jouer au dur.”

Son rire s’élève de nouveau alors qu’il assène une tape sur l’épaule d’Ashley. Un pas en arrière du plus jeune les sépare de nouveau, mais leurs regards s’accrochent l’un à l’autre et ils ont l’air si semblables avec leurs boucles brunes, leurs sourires et leurs visages fins. Mais là où Avis a sans conteste hérité des yeux gris de son père, leur mère a confié à Ashley la couleur sombre des siens, la seule chose qu’elle leur ait laissé avant de disparaître du jour au lendemain.

“Je t’aime, Ave. Même quand tu chiales, tu restes mon grand frère préféré.”
“Moi aussi je t’aime, petit frère.”

Avis l’a gavé d’amour pour qu’il ne se sente jamais oublié. Même dans la tristesse ou la douleur, même quand la rage cognait le fond de son corps et qu’il avait envie de frapper, frapper, frapper encore, il a toujours pris soin d’Ashley. Il a séché ses larmes quand sa première copine l’a lâché. Il a soigné ses bobos, pansé chacune de ses plaies. Éclaté la gueule d’un type qui avait osé le menacer, d’un second et d’un autre encore. Il s’est battu. Au départ un peu seulement, puis de plus en plus souvent et on l’a menacé de renvoi, mais à coup d’argent parfaitement injecté par Tobias ils ont été contraint de le garder. À terme, Ashley était devenu le seul à oser l’approcher et entre les murs de l’école il n’avait pas eu d’autre choix que de se calmer.

“Je te dois beaucoup, tu sais. T’as toujours été là pour moi. Tu t’es foutu dans les galères pour me sauver le cul. Tu parvenais toujours à me faire rire même quand je pensais être au fond du trou.” Ashley se penche pour attraper une clope, qu’il glisse entre ses lèvres, allume. “Même quand t’as commencé les combats, tu revenais éclaté, pété de partout, et t’étais quand même là pour prendre soin de moi et écouter mes malheurs. C’était pas grave si tu pissais le sang, tu me disais quand même de tout te raconter.”

C’est vrai. Il le serrait fort dans ses bras tremblants d’effort, tâchant ses fringues de rouge avec un souffle brisé de douleur mais il s’en foutait tant qu’Ashley n’était plus triste, tant qu’il n’était plus seul, tant qu’il versait contre son torse tout ce qui lui broyait le cœur.

“J’aurais pas pu rêver meilleur frère que toi, vraiment.”

Ça lui prend la gorge, ça fait monter les larmes au fond de ses yeux et il les masque dans un sourire égal à l’émotion qui s’accroche à sa poitrine. Mais en réalité il peut bien les verser celles-là, Ashley a tout vu de lui, le connaît mieux que quiconque. Même Tobias, même leur père ne connaîtrait jamais ne serait-ce que la moitié de son âme : il l’en maintenait depuis des années fermement éloigné, ce n’est de toute façon pas exactement comme s’ils avaient eu quelque chose à se dire ces derniers quinze ans écoulés.

“Tu fais chier, Ash.” Il attrape la clope des doigts du plus jeune qui la lui tend et tire dessus longuement. “T’arriveras pas à me faire chialer ce coup-ci.” D’une expiration, il crache la fumée vers le ciel noir au dessus de leurs têtes et les étoiles se voilent l’espace minuscule d’un instant. “Mais moi non plus. J’aurais pas pu rêver meilleur petit frère.”

Ils restent là un instant à écouter sans un bruit Pumped Up Kicks chantée depuis la chaîne hi-fi du salon. Ashley lui abandonne sa clope et s’en allume une autre, s’adossant à la rambarde quand Avis s’y accoude, plutôt.

“Tu vas déchirer, demain.” murmure Ashley.
“Comme d’habitude.”

Il ricane.

* * *

“Come on, Ave!”

Avis l’a compris depuis quelques secondes déjà, il perd du terrain. Ses jambes sont douloureuses. Ses poings tremblants. Tandis que son propre sang imbibe lentement les bandes enroulées autour de ses doigts. Et l’autre cogne, atteint ses côtes et lui tire un grondement rauque. L’oblige à reculer d’un pas au milieu des cris. De la folie des Hommes. De cette fièvre qui envahit l’endroit et s’insère au fond de son cœur, au creux de ses tripes ; Avis s’en nourrit. Il y puise sa force et relève des yeux déterminés vers ceux de son vis à vis, un sourire suffisant brodé sur ses lèvres alors qu’il se précipite sur lui, encaissant un coup de plus contre son ventre quand le nez de l’adversaire craque sous le sien. C’est maintenant - s’il le laisse frapper encore, il sait qu’il ne s’en relèvera pas - maintenant qu’il doit puiser dans ce qui lui reste d’énergie pour mettre un terme à ce spectacle ensanglanté.

“Bloody yes! Kick his ass!”

Il ricane entre ses dents, le souffle bas, alors que son genou s’écrase dans l’estomac et ça braille autour, ça encourage dans un dernier sursaut le champion qu’ils ont choisi tandis que les coups pleuvent dans un ultime effort. Jusqu’à ce que l’autre s’effondre et qu’Avis, le souffle court, tombe sur un genou, une grimace collée sur la gueule et sa main crispée sur son flanc. Un visage apparaît d’un seul coup dans son champ de vision, lumineux, souriant, avec les mêmes cheveux noirs que lui qui tombent en boucles soyeuses sur des épaules frêles.

“You got it! You beat him, Ave! Oh my God, for a moment I thought he was going to win, but you did it! You were awesome! Bloody awesome!”

Il marque une pause dans son babillage incessant pour le regarder et ses sourcils se froncent.
“Ave? You okay ?”
“I think this asshole broke my rib.”

Il s’étrangle sur les mots.

15.12.1996 : Naissance de Avis Green (humain).
11.11.1997 : Naissance de Ashley Green (humain).
Janvier 2007 : Départ de leur mère (humaine).
Septembre 2007 : Entrée d’Avis au pensionnat de Londres.
Septembre 2008 : Entrée d’Ashley au pensionnat de Londres.
Courant 2010 : Tobias (humain) obtient un visa pour les États Unis où il monte sa boîte (qui n'est qu'une couverture pour des activités bien plus illicites), dans le but de faire gagner du terrain à la mafia anglaise.
Janvier 2012 : Avis dispute son premier combat clandestin.
Octobre 2012 : Tobias découvre les activités périscolaires de son fils et le fait bosser pour lui (combat) sur la branche de Londres.
Septembre 2014 : Entrée à l’université de Cambridge (parcours Sciences Politiques).
Novembre 2014 : Abandon de son cursus, Avis est intelligent mais il a la flemme. Après obtention à son tour de son visa (travaille officiellement pour la boîte-couverture de Tobias), il rejoint son père et son frère à Chicago. Entre officiellement dans la mafia (combats, trucage de paris, très occasionnellement trafic de drogues).
Awful pour Epicode

Jeremiah Plenton

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Jeremiah Plenton
Jeremiah Plenton

Dim 23 Jan - 14:39
Re-bienvenue à toi

Noah Carter

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Noah Carter
Noah Carter

Dim 23 Jan - 14:56
Bienvenue parmi nous, un peu plus officiellement flower

Avis Green

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Avis Green
Avis Green

Dim 23 Jan - 17:03
Encore merci ♥
Ma fiche est terminée Very Happy

Ian MacCoy

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Profession : Agent Défense - Spécialisations : Combat rapproché & Entrées tactiques
Race : Jaguar Therian
Ian MacCoy
Ian MacCoy

Dim 23 Jan - 17:42
Bienvenue au THIRDS

Personnage intéressant qui promet pas mal d'intrigues, je dois dire. S'il se fait pincer, ça donnera du boulot à Jeremiah Very Happy. Je crois qu'on peut dire qu'Avis est assez remarquable, tant au niveau de la personnalité que physique. Cela dit, c'est la première fois que je vois un physique qui reflète entièrement la personnalité d'un personnage, bravo. Bref, te voilà validé et tu peux dès à présent commencer à jouer. Cependant, n'oublie pas de référencer son avatar afin d'éviter qu'un autre futur membre choisisse le même. Et n'oublie pas non plus de faire une demande de logement, car ça m'étonnerait qu'un gaillard comme ça vive dans la rue. Tu as également la possibilité de proposé un ou plusieurs scénarios suivant les besoins de ton personnage ou même n'ayant aucun rapport avec lui.

Tu es ajouté au groupe CIVIL, un rang te sera assigner afin de renseigner ta classification therian ainsi que ton poste au sein de l'Agence. Oh et n'oublie pas de générer ta fiche de personnage. Si tu as des questions, n'hésite pas à me contacter via MP ou dans la section Relais Médiatique des Relations Publiques du forum.

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